"L’esprit de la forêt, la fille de
la Terre".

Créée au pastel sec sur un format monumental (100x70 cm),
durant 120 heures, Nayara est la première œuvre de ma collection
« Âmes du Monde ».

Elle est une âme nomade, une femme du monde,
témoin silencieuse de la beauté et de la fragilité de notre planète.

Ses yeux capturent la mémoire des peuples oubliés,
les chants des forêts tropicales, les mystères des rivières sacrées.
Chaque grain de pastel est une empreinte d’émotion, chaque nuance, une
vibration de vie.

Pourquoi elle s'appelle Nayara ?

Parce qu’aucun autre nom ne pouvait contenir autant de
silence, de force et de mystère.

En tupi-guarani (langue amérindienne), il évoque "l’esprit
de la forêt, la fille de la Terre".

Ses traits sont ceux d’une femme-racine, ancrée, mais
libre.

Elle est l’écho ancien de la Nature, incarnée dans un regard humain.

Pourquoi Nayara ?

Parce qu’elle porte dans ses yeux une forêt entière.

Parce qu’elle semble connaître des choses que nous avons oubliées.

Parce que son visage est un sanctuaire — pas un décor.

Nayara, c’est une invitation. À ralentir. À écouter.

À se souvenir d’où l’on vient, quand on enlève le bruit du monde.

Elle s’appelle NAYARA.

Elle est née de la terre que l’on foule pieds nus,

De l’eau sacrée qui glisse entre les pierres,

Du vent chaud qui murmure entre les feuillages.

Elle porte sur la peau les marques d’un peuple invisible,

Une tribu sans drapeau, mais avec une mémoire.

Les oiseaux lui parlent,

Les plantes la reconnaissent,

Et les animaux s’arrêtent quand elle passe.

Elle est l’Amazonie,

Elle est le murmure d’une cascade,

Elle est le chant d’un monde qu’on a trop fait taire.

Elle est née dans un endroit que personne ne peut pointer
sur une carte.

Un lieu qui n’existe que pour ceux qui ferment les yeux.

Là où la terre respire, où l’eau enseigne, où la lumière
écoute.

Elle est l’écho de la forêt,

La fille du silence,

La voix des éléments.

Dans son regard : la mémoire des anciens, le refus
de l’oubli et la force tranquille des femmes qui n’attendent rien,
parce qu’elles savent déjà.

Elle est là pour te rappeler ce que tu es, quand tu es
aligné avec le vivant.

Elle s'appelle Nayara.

Et une fois que tu l’as croisée, tu ne regardes plus la forêt —

C’est elle qui te regarde.